Vitamine D, suite !
Les découvertes continuent de se bousculer, concernant la vitamine D
Une équipe finlandaise * vient de mettre en évidence qu’un déficit en vitamine D pouvait avoir un lien avec une maladie de Parkinson
Plus de 3000 patients ont été suivis pendant 30 ans, avec un dosage initial de vitamine D
Ceux qui avait un taux d’au moins 50 nmol/l avait un risque diminué de 65 %
par rapport à ceux qui avaient un taux inférieur à 25 50 nmol/l
L’étude montre de manière statistique qu’un taux de vitamine D faible prédit le risque de survenue de la maladie
Les auteurs concluent que la vitamine D protège de la maladie de Parkinson
Les mécanismes de protection ne sont pas encore connus
Tous à vos 10 minutes de soleil par jour !
* Arch. Neurol. , vol n°67, n°7